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Jean Tirole

Économie du bien commun

Ce livre est le premier ouvrage de Jean Tirole s’adressant à une audience élargie. Sa réception du prix Nobel l’a incité à investir le débat public, ainsi que la défiance croissante qui existe à l’égard de la science économique, tant dans la société civile que chez des économistes « hétérodoxes ». L’objectif du livre est de dresser un état des connaissances économiques, afin de montrer que, contrairement aux idées reçues, les économistes se préoccupent du « bien commun », en diffusant des savoirs permettant à la fois de comprendre la société et de la transformer.

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Alexandre Chirat

Économie du bien commun
Économie du bien commun

book.chapter Introduction

La notion de « bien commun » est le thème qui permet de relier l’économie en tant que science à l’économie en tant que domaine d’expertise au service du public et du politique. Elle est au cœur de l’ouvrage, en particulier des deux premières parties, respectivement consacrées au « rapport de l’économie à la société » et au « métier d’économiste ». L’auteur entend y montrer comment l’économie façonne un certain regard sur le monde. Il décrit ensuite la manière dont l’économiste travaille et est amené à investir le débat public. Les parties suivantes du livre relèvent moins de la sociologie de l’économie qu’elles ne portent sur les savoirs économiques en tant que tels. Jean Tirole considère la « théorie de l’information », laquelle unifie les aspects théoriques de son ouvrage, comme la plus fondamentale des quarante dernières années. Son livre constitue à cet égard un manuel introductif à l’économie contemporaine, ou du moins à tout un pan de cette dernière, héritière de cette révolution théorique. Le fait que l’ouvrage s’apparente à un manuel transparaît également dans le ton, qui se veut didactique, ainsi que dans sa structuration, puisque les chapitre sont relativement indépendants les uns des autres. Aux deux premières parties s’en ajoutent trois autres, qui portent respectivement sur les institutions économiques, la macroéconomie et l’économie industrielle (ou microéconomie).

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