dygest_logo

Téléchargez l'application pour avoir accès à des centaines de résumés de livres.

google_play_download_badgeapple_store_download_badge

Bienvenue sur Dygest

Dygest vous propose des résumés selectionnés et vulgarisés par la communauté universitaire.
Voici le résumé de l'un d'entre eux.

Les Secrets de la communication

de Richard Bandler & John Grinder

récension rédigée parFabienne Matuszynski-CamposRédactrice, correctrice, chargée de projets communication et édition.

Synopsis

Économie et entrepreneuriat

La programmation neurolinguistique (PNL) est une technique de thérapie brève, de communication et de développement personnel. La PNL vise avant tout l’efficacité : c'est pourquoi elle se focalise sur les comportements en eux-mêmes plutôt que sur leur origine comme le font les thérapies conventionnelles. Elle se donne pour objectif d'observer et de modifier des comportements problématiques ou bloquants afin d'atteindre des objectifs personnels (gestion du stress et des émotions, modification des schémas mentaux, correction de réactions problématiques, confiance en soi, créativité...). Pertinente notamment dans le cadre du coaching, la PNL peut recourir à des outils très variés, allant de la linguistique à l'hypnose.

google_play_download_badge

1. Introduction

Cet ouvrage retranscrit un séminaire d'une durée de trois jours, animé par Richard Bandler et John Grinder devant un public de thérapeutes et de praticiens déjà sensibilisés à cette approche. Le séminaire se divise en trois parties. Le premier jour, il s'agit d'accéder via les formes cachées du langage à la réalité intérieure que chacun se crée en réaction à un événement extérieur, en fonction de son vécu sensoriel et de son système de représentation. Le deuxième jour, il s'agit d'amorcer le changement grâce à la modification de la structure personnelle, notamment grâce à la technique de l’ancrage.

Enfin, le troisième jour il s'agit de réaliser la transformation en elle-même grâce à la technique complexe du recadrage en six points.

2. Les principes de base de la PNL

Selon Richard Bandler et John Grinder, les thérapeutes traditionnels travaillent en partie intuitivement, et s’ils se focalisent sur les causes des comportements ils ne recherchent pas la compréhension des processus inconscients en jeu de peur d'entrer dans de la manipulation. Pour autant, même si leurs disciplines diffèrent, l'observation au long cours de leur travail montre que leurs comportements à succès se ressemblent beaucoup au niveau de leur logique.

Les praticiens de la PNL sont dans une optique différente : s’ils cherchent à connaître la vraie nature des choses, c’est avant tout parce que leur but est purement pragmatique, orienté vers l’efficacité. Ils cherchent un moyen, parmi une infinité de possibilités, de comprendre le comportement d’une personne pour pouvoir le modifier. C'est pourquoi, lorsque certaines lignes de conduite ou processus leur sont apparus comme efficaces lors de la phase d’observation, les créateurs de la PNL se sont attachés à les mettre en lumière de manière empirique. Car ce qui compte en PNL ce n'est pas le contenu, le « pourquoi », mais bel et bien le processus, le « comment ». Dans le même ordre d’idée, au fil de l'ouvrage, les participants au séminaire sont invités à ne pas expliciter leur problème, mais à le nommer « X » pour centrer l'attention sur l'information en elle-même.

Par ailleurs, ils soulignent que l’on emploie le langage sans pour autant comprendre consciemment toute la complexité de son fonctionnement syntaxique et grammatical. Lorsque l’on forme une phrase complexe, on ne prend pas de décision consciente et pourtant on respecte rigoureusement certaines règles : il s'agit d'une compétence inconsciente. Tout comme les linguistes s'attachent à mettre en lumière ces règles, les praticiens de la PNL cherchent à identifier ce que les thérapeutes font intuitivement ou inconsciemment, afin de formaliser ces compétences inconscientes sous la forme de règles. Il ne s'agit pas de comprendre ce qu'il se passe avec exactitude, mais de mettre au jour et de formaliser les comportements qui sont systématiquement efficaces. Or, pour communiquer, on doit entrer en contact avec un autre être humain, alors même que les modalités pratiques de cette prise de contact ne vont pas de soi et ne sont jamais enseignées. Les formations en PNL ont pour objectif d'apprendre d’abord consciemment à communiquer avec l'autre, pour que par la suite la thérapie puisse se faire inconsciemment et systématiquement.

Pour obtenir un résultat favorable en utilisant la PNL dans un contexte de communication, le praticien doit posséder trois aptitudes préalables. D’abord il doit être capable de définir clairement et précisément les résultats visés. Puis il doit reconnaître la nécessité de pouvoir identifier les réactions de son interlocuteur, soit pour s’y adapter si ces réactions sont désirées, soit pour proposer autre chose si elles ne le sont pas ; et ce autant de fois que nécessaire. Enfin, pour identifier ces réactions et définir si elles sont efficaces ou non, le praticien doit avoir une expérience adéquate en termes de vécu sensoriel. Si ces trois aptitudes sont en œuvre, le praticien de la PNL procédera de manière empirique, en modifiant son comportement jusqu’à obtenir les réactions recherchées – et non pas en répétant une seule méthode et en expliquant son échec par une quelconque résistance de son interlocuteur.

3. La puissance méconnue du langage

Communiquer c'est d'abord savoir s'adapter au mode de pensée de l'autre et harmoniser son intervention en employant un vocabulaire et des intonations semblables à ceux de son interlocuteur. C’est ce que les praticiens de la PNL appellent « refléter ».

Car la communication, qui utilise le langage pour parler d'un mode de pensée, touche en fait à un autre aspect : les systèmes de représentation, qui sont propres à chacun et relèvent d'une combinaison sensorielle unique basée sur la vue, l’ouïe et la kinesthésie. Mais comment harmoniser deux pensées différentes quand on utilise un langage commun pour faire part d'un système de représentation unique ? Prêter attention au vocabulaire utilisé et s'en servir à son tour peut donc bel et bien permettre, dans un premier temps, d'instaurer la confiance pour pouvoir par la suite identifier le système de représentation de son interlocuteur. Chaque mot se charge pour chaque personne de significations sensorielles uniques qui lui donnent une signification riche, allant bien au-delà du socle culturel commun. Il s'agit également de prendre conscience de la puissance créatrice du langage.

Par exemple, demander « Vous sentez-vous à l'aise ? » provoque systématiquement un changement physique perceptible d’une part, et propre à chacun d’autre part. Ce procédé se nomme la recherche transdérivationnelle : « Les mots sont des stimuli qui [vous incitent] à prendre conscience de certains éléments de votre expérience personnelle plutôt que de certains autres » (p. 33). Cette capacité à diriger la conscience de l’interlocuteur et à la focaliser sur un élément particulier s'avérera utile à tous les stades de la thérapie avec la PNL.

Il y a forcément un décalage entre l’expérience, l’interprétation que l’on en fait (relevant de l’inconscient) et les mots que l’on utilise pour en parler (relevant du conscient). Le langage est une forme d’expression très indirecte des expériences personnelles. Pourtant, il possède des formes cachées dont la plupart des gens n’ont pas conscience, et qui peuvent donner un accès beaucoup plus direct à l’expérience personnelle de l’autre. On peut en saisir certains aspects de manière intuitive, par exemple par une interprétation spontanée ou parcellaire du langage non verbal. Mais grâce aux outils proposés par la PNL, il devient possible de développer ses perceptions sensorielles pour les affiner à l’extrême et percevoir ces formes cachées du langage, très subtiles, touchant à l’inconscient et reflétant rarement les mots choisis consciemment.

4. Les formes cachées du langage

Aiguiser ses sens pour être suffisamment attentif aux messages sensoriels conscients et inconscients permettrait à chacun de percevoir chez son interlocuteur des éléments non verbaux en réponse à une question ou à une affirmation. « Par une foule d’indices différents les gens communiquent des informations au sujet de leurs systèmes de représentation » (p. 37).

Les mouvements des yeux et, plus largement, les mouvements du corps sont une source d’information complémentaire au langage, concernant non pas les contenus mais les processus, la structure donnée aux expériences vécues. Il s’agit de gestes typiques, que beaucoup de personnes savent reconnaître intuitivement. Pour accéder à ces indices, Richard Bandler et John Grinder proposent d’observer avant tout les mouvements des yeux, qui selon eux permettent d’accéder à la réalité intérieure que la personne se crée en réaction à un événement extérieur. Il s’agit d’une technique fondamentale en PNL.

Pour accéder à cette réalité intérieure il faut identifier le système de représentation de la personne. Même s’il n’est pas possible de généraliser et que seule l’expérience compte, certains traits communs ont été relevés et systématisés par les créateurs de la PNL. Il appartient au praticien de poser suffisamment de questions différentes, qui soient également assez caractérisées pour faire émerger le système de fonctionnement de son interlocuteur. Par exemple, il sera contreproductif de lui demander de se rappeler et de ressentir en même temps quelque chose : encore une fois, le langage est central. Aucun jugement n’est pertinent concernant ces modes de fonctionnement. Ce qui compte pour pouvoir découvrir les réponses d’une personne avant même qu’elle ne les exprime verbalement, c’est l’observation objective des résultats obtenus et sa mise en corrélation avec les questions posées, pour obtenir un système.

Car quel que soit le mode de fonctionnement d’une personne, qu’il soit classique ou inattendu, il s’agit forcément d’une organisation systématique.Trois axes sont utilisés en PNL : la vue, l’ouïe et la kinesthésie. Ainsi, lever les yeux, c’est se représenter des images mentales, « avoir une image en tête » (par exemple, visualiser l’ordre des feux de circulation) ; geste inconscient que la plupart des gens complètent en regardant à droite pour des images évoquées (se souvenir du nombre de feux rouges croisés le matin même), ou à gauche pour des images fabriquées (s’imaginer avec une autre couleur de cheveux). Regarder en bas est le signe d’un contact avec l’audition : complété par un regard à droite, la personne évoque des sons et des mots fabriqués ; à gauche, des sons et des mots évoqués.

Enfin, une personne qui porte son regard en bas à droite sollicite des sensations kinesthésiques incluant l’odorat et le goût. Il devient alors possible, par exemple, de comprendre la démarche intérieure d’une personne, de déterminer quelle est la part de conscient et d’inconscient dans ses réponses, mais aussi d’enrichir son système de représentation et ses stratégies (démarches d’accès à une idée) pour compenser un manque ou lui permettre d’accéder à de nouveaux choix de comportement face à une situation.

5. Modifier la structure personnelle grâce à l’ancrage

Après avoir établi un rapport avec l’autre, le praticien PNL est capable de « refléter » son interlocuteur à la fois verbalement (syntaxe, vocabulaire…) et non-verbalement (position corporelle, expression du visage, respiration…). La confiance étant installée, il devient alors possible d’orienter la personne pour lui faire adopter un nouveau comportement.

Cela peut se faire simplement en modifiant ses propres actions de « reflet », ou encore en faisant se chevaucher le mode de représentation de la personne avec un autre que l’on aura conçu pour résoudre son problème. Richard Bandler et John Grinder s’attardent sur la méthode de l’ancrage, qui consiste à associer une réaction (positive ou négative) avec une sensation physique induite par le toucher, l’ancre. Ce processus est une forme de conditionnement, de programmation.

Schématiquement, le praticien demandera à une personne en état de conscience modifié de se souvenir d’un moment où elle aura ressenti une émotion précise, et il la touchera brièvement au moment où le souvenir ou l’image inventée seront visualisés intensément. Ce toucher sera associé à l’expérience en question et l’évoquera à chaque fois, la transformant en ressource exploitable à l’envi. La personne pourra ensuite faire appel à cette ressource pour modifier son comportement. « Chaque fois que je toucherai [mon interlocuteur] de cette façon, avec la même force, au même endroit, et qu’[il] ne sera conscient de rien qui soit plus intense que son expérience à ce moment-là, [il] aura accès à la même expérience. C’est du pur conditionnement. » (p. 147). Les ancres peuvent servir à avoir plus confiance en soi dans des moments stressants, à se défaire de phobies, etc.

Le principal usage des ancres en thérapie est d’amener une personne à changer ses réactions. L’ancre permet, face à une situation, d’avoir accès à d’autres réactions possibles afin d’avoir à sa disposition un choix de comportements à adopter – mais aussi, si besoin, d’orienter ce choix. Après avoir fait ce travail, on possède des ressources que l’on n’avait pas auparavant face à une situation : on se retrouve avec non pas une mais plusieurs histoires personnelles, qu’elles soient « véritables » (l’expérience vécue sans avoir la nouvelle ressource à disposition), « nouvelles » (l’expérience vécue de nouveau, même de manière mentale, avec la nouvelle ressource à disposition). Pour s’assurer que la personne utilise ce nouveau comportement dans la vie réelle, le thérapeute peut « jeter des ponts » en reliant, toujours grâce à l’ancrage, la nouvelle réaction à la situation appropriée, sans qu’il n’y ait besoin de toucher la personne.

Toutefois, l’efficacité d’une ancre dépend de l’utilisation qu’en fera le thérapeute : il se peut tout aussi bien que, par défaut de conscience de ses gestes ou par méconnaissance des processus, il induise involontairement une ancre qui réduira à néant les efforts faits durant la thérapie. Cet outil simple mais puissant doit donc être utilisé avec une grande conscience, une vraie maîtrise et beaucoup de précision.

6. La transformation de soi grâce au recadrage en six points

Richard Bandler et John Grinder partent du postulat que chacun a les ressources pour changer, et que le rôle du praticien de la PNL est de donner accès aux ressources appropriées au moment opportun. De plus, l’humain étant un être complexe et équilibré, il s’avère que chaque réaction a un effet positif, même caché : « Il serait à notre avis irresponsable de se contenter de modifier le comportement des gens sans tenir compte du concept très important des ‘‘avantages secondaires’’. Nous présumons que le comportement d’un individu est la meilleure réaction qu’il puisse avoir dans une situation donnée, si bizarre ou inadéquat qu’il nous paraisse » (p. 243). Cette méthode permet de pousser une personne à adopter un comportement, ou à en empêcher un autre, en respectant cette complexité et en intégrant les avantages secondaires au processus d’évolution personnel.

Ainsi, le recadrage s’appuie sur la distinction entre l’objectif (par exemple, une perte de poids durable) et le comportement (des excès alimentaires dont l’avantage secondaire perçu est un surpoids qui permettrait de fuir les tentations amoureuses) afin de trouver des comportements plus acceptables (faire face aux tentations amoureuses et savoir y résister) permettant d’atteindre les mêmes objectifs (garder un poids stable tout en préservant son mariage).

Les créateurs de la PNL présentent ensuite leur méthode de recadrage en six points. Premièrement, il s’agit d’identifier le comportement à changer.

Deuxièmement, il s’agit d’entrer consciemment en communication avec le côté de la personne qui est responsable de ce comportement : demander l’accord de cette partie inconsciente, puis déterminer quel signal signifiera son accord ou son refus (le plus souvent une sensation physique).

Troisièmement, il s’agit de différencier le comportement (pour reprendre l’exemple précédent, la prise de poids constante) et l’objectif du côté qui est responsable de ce comportement (la sauvegarde de son mariage). Puis le praticien demande au côté responsable du comportement problématique de révéler au niveau conscient l’avantage secondaire qu’il permet d’atteindre, il réceptionne sa réponse et lui demande de lui communiquer cet avantage secondaire au niveau conscient, avant de demander au côté conscient de l’interlocuteur s’il accepte lui aussi cet objectif.

Quatrièmement, il s’agit de créer de nouvelles options de comportement permettant d’atteindre l’objectif. Un nouveau côté, le côté créateur, est sollicité pour proposer des options au niveau inconscient, que le côté responsable du comportement va valider ou non, en signalant son accord par le signal précisé plus tôt.

Cinquièmement, il s’agit de demander au côté responsable du comportement de prendre la responsabilité d’amener la personne à adopter les différentes possibilités de comportement lorsque se présente la situation.

Et enfin sixièmement, il s’agit de vérifier que tous les côtés de la personne sont d’accord au sujet des nouvelles options, de recueillir les potentielles objections et de les traiter sous la forme d’un nouveau recadrage en six points.

7. Conclusion

Au-delà de l’approche thérapeutique, la PNL est une conception de la communication et du fonctionnement humain basée sur la puissance du langage et de l’inconscient.

De multiples techniques sont évoquées ici, concernant tous les stades du changement, cependant on retiendra la prévalence de l’hypnose qui revient sans cesse en toile de fond dans ce contexte de changement de schémas mentaux, notamment avec les méthodes de modification de la conscience comme le rêve éveillé guidé ou l’hallucination positive.Richard Bandler et John Grinder insistent régulièrement sur la responsabilité du praticien concernant l’intégrité et le bien-être de son interlocuteur, mais aussi sur les risques en cas de mauvaise utilisation de la PNL : jamais il n’est fait mention d’une pratique simple ou magique. Cette technique de changement personnel rapide, parfois controversée par certaines apparences manipulatrices, est pourtant reconnue pour son efficacité par de nombreux professionnels dans des domaines aussi variés que la communication, la psychologie, la thérapie ou encore l’éducation.

Son efficacité repose sur l’étude approfondie des réactions non verbales plutôt que sur la recherche des causes des comportements, et s’appuie sur une recherche constante de systèmes nécessitant une grande souplesse, de l’empathie, des perceptions fines du langage non verbal, mais aussi la capacité de se remettre sans cesse en question et la valorisation de l’expérience. C’est une méthode qui demande en effet une maîtrise théorique poussée, une éthique solide, une très bonne connaissance du fonctionnement humain et beaucoup de pratique pour révéler son plein potentiel.

8. Zone critique

Cet ouvrage étant la retranscription d’un séminaire, le livre souffre de son origine orale par un manque de structure et de fluidité, des longueurs, un discours jargonneux et une circulation parfois peu claire entre les différentes idées abordées, tout cela rendant la lecture laborieuse. De plus, il s’adresse à des amateurs éclairés et non pas à des débutants : en effet, tout ce qui est abordé n’est pas forcément défini ni détaillé, et les différents sujets connaissent une nette inégalité de traitement, due en partie à l’adaptation en temps réel aux réactions du public.

La PNL, malgré son succès récent, n’a pas eu une histoire sans heurt. Alors même qu’elle repose sur une base scientifique, elle a reçu beaucoup de critiques de la part des milieux universitaires et scientifiques estimant qu’elle n’avait pas démontré l’ensemble de ses concepts et de ses techniques ni utilisé de réelles méthodologies de recherches scientifiques. Dans les années 80 et 90, la PNL a commencé à passer pour une supercherie sophistiquée, une technique de manipulation mentale douteuse sur le plan éthique. La PNL a même été accusée de dérives sectaires. Toutefois, la PNL est revenue en force, étant utilisée notamment dans de nombreuses formations, mais souvent avec une distance assumée.

9. Pour aller plus loin

Ouvrage recensé– Richard Bandler, John Grinder, Les Secrets de la communication – Transformez votre vie et celle des autres avec la PNL, Paris, Éditions J'ai Lu, Coll. Bien-être, 2011.

Autres pistes– Patrick Aich, Le guide des protocoles Hypnose PNL : Outil destiné aux professionnels des thérapies brèves et du coaching, Éditions du Centre Conseil, 2012.– Richard Bandler, Un cerveau pour changer : Comprendre la PNL, Pocket, 2008.– Robert B. Cialdini, Influence et manipulation – L'Art de la persuasion, Pocket, 2014.– Chantal Masquelier-Savatier, Comprendre et pratiquer la Gestalt-thérapie - Une démarche stimulant la liberté de l'être et sa créativité, InterEditions, 3e édition, 2020.– Gérard Salem, Eric Bonvin, Soigner par l'hypnose - Approches théoriques et cliniques, Elsevier Masson, 6e édition, 2017.

© 2021, Dygest